Tecnología de la información y comercio electrónico
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Las cadenas de valor mundiales en la era de Internet: ¿qué oportunidades hay para África?
En el presente capítulo se analizan los efectos de Internet en las cadenas de valor mundiales (CVM) de África. En concreto, analizamos qué repercusión tiene el uso de Internet en la participación progresiva y regresiva de los países africanos en las CVM. Nuestras estimaciones se basan en datos por países de la base de datos EORA de la Conferencia de las Naciones Unidas sobre Comercio y Desarrollo (UNCTAD) sobre las CVM y en datos de empresas procedentes de la Encuesta de Empresas del Banco Mundial. Lo que queremos es verificar si el uso de Internet facilita la participación de los países y las empresas de África en las CVM. Nuestros resultados sugieren que el uso de Internet y la infraestructura de Internet son factores más importantes para la participación progresiva de las empresas y países africanos en las CVM. Nuestra conclusión es que los resultados empíricos muestran que el uso de Internet incrementa la participación en las CVM en África. Los países y empresas africanos deben mejorar la infraestructura de Internet si quieren asegurar la mejor integración posible en las CVM.
Trade, value chains and labor markets in advanced economies
Trade is a major source of employment. Nevertheless, trade has recently been caught in the crossfire in discussions around the decline of manufacturing employment and the polarization of labor markets in advanced economies. In this chapter we examine what the academic literature has to say on the relationship between trade and labor markets, with a specific focus on studies with a value chain perspective. We find that trade has only modest effects on aggregate employment and is unlikely to have been a major contributor to the decline of manufacturing. However, the effects vary considerably across regions and individuals with different skill levels. This implies that policy has a central role to play in making sure that the gains from trade are shared evenly. Our findings highlight that a value chain perspective is important for assessing the impact of trade on labor markets. The emergence of value chains has strengthened linkages between sectors, magnified trade’s impact on skill demand and requires novel trade statistics. Ignoring this leads to a biased view of trade and overestimates its role in the decline of manufacturing employment.
El comercio electrónico en África: cuestiones en juego y desafíos
En el presente capítulo se analiza el potencial del comercio electrónico en África. El rápido crecimiento de Internet y de la telefonía móvil, junto con la adopción de innovaciones móviles que han impulsado en gran medida la inclusión financiera y fomentado el uso de los medios de pago electrónicos, han sentado una sólida base para el desarrollo del comercio electrónico en el continente. Por otro lado, la tasa de penetración bancaria (que sigue siendo baja), las deficiencias en las leyes y reglamentos por los que se rige el sector y su falta de armonización transfronteriza limitan el desarrollo del comercio electrónico en África. La reducción de la ciberdelincuencia, el aumento de la participación en el sector financiero y el fortalecimiento del marco jurídico son indispensables para promover el comercio electrónico.
Are digital advances and inclusive growth compatible goals? Implications for trade policy in developing countries
Recent years have seen policymakers give increasing attention to two significant, widespread phenomena: rising inequality (the result of uneven access to productive employment) and the quickening pace of the Fourth Industrial Revolution (4IR) or “digital era”. This chapter explores the concept of inequality and why it is important to promote more inclusive growth, especially in developing countries. It also offers insights into how digital advances can serve to accelerate inclusive growth, provided countries have well-informed policies, regulations and institutions to drive the necessary changes. It is evident from a crosssection of the literature and the initial results from a study on the effects of digital advances on inclusive growth in Africa that digitalization and inclusive growth are ideologically compatible. The areas requiring special attention by policymakers in developing countries include: (i) the problem of data inadequacy; (ii) uneven and costly digital connectivity; and (iii) education systems that are not preparing entrepreneurs for in-demand jobs or for the workplace of the future. Two of the prerequisites for leveraging digital technologies in order to drive more inclusive growth are an effective regulatory framework and a commercial environment that is both trade- and investment-friendly.
L’économie créative numérique et le commerce : options stratégiques pour les pays en développement
Le secteur créatif est une source importante de croissance dans l’économie mondiale, et le commerce des produits et services créatifs numériques a fortement augmenté ces dernières années, en particulier pendant la pandémie de COVID-19. Le contenu numérique remplace les biens physiques, par exemple, dans les segments de la musique, des livres et des jeux. Les agrégateurs numériques comme Amazon, Apple, Netflix, Spotify, TikTok et YouTube ont alimenté une croissance rapide et diversifié les recettes en mettant l’accent sur la diffusion en continu, la publicité et la monétisation des données. Les recettes liées aux droits d’auteur sont également en hausse, et les perceptions de redevances liées au numérique constituent le segment qui connaît la croissance la plus rapide. La participation des pays en développement au secteur semble augmenter, bien que l’on dispose de peu de données sur la question. Pour tirer parti des avantages potentiels de l’économie créative numérique, les pays en développement doivent soutenir une transformation : le modèle classique du créateur indépendant, exerçant une activité à faible valeur ajoutée, doit faire place à une approche de collaboration stratégique qui permet de relever les niveaux d’entrepreneuriat créatif et numérique. À cette fin, il convient de mettre en place un cadre juridique et institutionnel plus solide pour améliorer l’exploitation des droits d’auteur et les monétiser, de soutenir financièrement la commercialisation des activités créatives, d’amener les pouvoirs publics à participer au soutien aux entreprises (qui prend la forme, entre autres, d’activités de formation, d’incubateurs, de laboratoires d’innovation, d’incubateurs de marché, et de programmes de développement de groupements et de marchés), de créer des institutions pouvant représenter les intérêts des travailleurs et des entreprises du secteur créatif, et d’harmoniser les politiques publiques concernant le secteur.
Notes techniques
Les Membres de l'OMC sont souvent désignés sous le nom de « pays », bien que certains ne soient pas des pays au sens habituel du terme mais, officiellement, des « territoires douaniers ». La définition des groupements géographiques ou autres, dans le présent rapport, n'implique de la part du Secrétariat aucune prise de position quant au statut d'un pays ou territoire, au tracé de ses frontières ou aux droits et obligations des Membres de l'OMC dans le cadre des Accords de l'OMC. Les couleurs, tracés de frontières, dénominations et classifications figurant dans les cartes n'impliquent, de la part de l'OMC, aucun jugement quant au statut juridique ou autre d'un territoire, ni la reconnaissance ou l'acceptation d'un tracé de frontières.
La chaîne de blocs peut-elle révolutionner le commerce international ?
Les gros titres annonçant que la chaîne de blocs peut révolutionner différents domaines du commerce international, du financement du commerce aux procédures douanières, en passant par la propriété intellectuelle, sont légion. Le caractère transparent, décentralisé et immuable de la chaîne de blocs a éveillé l’intérêt des acteurs privés – et des gouvernements – qui veulent explorer le potentiel de cette technologie afin d’améliorer l’efficacité des processus commerciaux, et une multitude de preuves de concept et de projets pilotes utilisant la chaîne de blocs ont été menés dans quasiment tous les domaines du commerce international.
Les nouvelles règles sur le commerce numérique en Amérique latine : les accords commerciaux régionaux
Bien que les progrès technologiques récents aient été favorables à l’essor du commerce numérique, cette croissance s’est produite en l’absence de règles claires et précises. Cette lacune est devenue problématique pour les pays d’Amérique latine. Des accords régionaux et bilatéraux plus complexes ont fait leur apparition face à l’impasse dans laquelle se trouve le régime commercial multilatéral. L’élaboration d’une réglementation du commerce numérique soulève de nombreuses questions. Dans le présent chapitre, nous examinons les nouvelles règles sur le commerce numérique qui figurent dans les accords commerciaux régionaux (ACR) récemment négociés par les économies d’Amérique latine. Nous nous sommes particulièrement attachés dans ce cadre à comparer l’Accord de partenariat transpacifique global et progressiste (PTPGP) et l’Accord Canada–États-Unis–Mexique (ACEUM) – les deux ACR les plus avancés concernant ces questions.
Conclusión
El mundo, tal como lo conocemos, ha sido definido por las innovaciones tecnológicas. Muchas personas han acogido la aparición de una nueva tecnología, la cadena de bloques (una tecnología de registro distribuido), a la que consideran el próximo gran factor de cambio, con entusiasmo y optimismo. La cadena de bloques, que permite compartir registros digitales y datos de manera segura, transparente e inalterable sin necesidad de depender de un único tercero de confianza, promete avances interesantes. Esta tecnología podría permitir a los particulares y a las empresas de todo el mundo efectuar transacciones de manera más eficiente, más barata y más rápida, preservando al mismo tiempo un elevado nivel de seguridad. Al simplificar y digitalizar procesos en los que participan múltiples partes interesadas y que hasta ahora dependían en gran medida del papel, reduciendo así los costes de procesamiento, verificación, seguimiento, coordinación y transporte, podría tener repercusiones importantes en la forma en que se realizan las operaciones comerciales, ya se trate de transacciones comerciales transfronterizas financieras o físicas. Podría reducir el fraude, mejorar la gestión de los derechos de propiedad intelectual, mejorar la rastreabilidad y la confianza en las cadenas de valor y brindar nuevas oportunidades a las pequeñas empresas.
La convergencia en materia de comercio electrónico: el caso de la Argentina, el Brasil y el MERCUSOR
El comercio electrónico está creciendo rápidamente en la Argentina y el Brasil, y en ambos países la proporción de la población que participa en transacciones de comercio electrónico supera el promedio latinoamericano. Los dos países han establecido un marco jurídico para la protección de datos, la reglamentación de Internet, la protección de los consumidores, la fiscalidad del comercio electrónico y los contratos y las firmas electrónicas. La Argentina y el Brasil también han presentado propuestas de negociación sobre el trato de las transacciones de comercio electrónico en los Acuerdos de la OMC y han incluido disposiciones sobre el comercio electrónico en sus acuerdos de libre comercio (ALC). Sin embargo, las diferencias en la reglamentación interna del comercio electrónico y en las posiciones mantenidas en las negociaciones internacionales indican la existencia de enfoques normativos dispares que aumentarán la incertidumbre jurídica y, por lo tanto, limitarán la inversión en el sector y su expansión. Una excepción es la reglamentación sobre protección de datos, en la que ambos países se basan en los principios establecidos en el Reglamento General de Protección de Datos (RGPD) de la Unión Europea. La mejor manera que tendrían los dos países de entablar nuevas negociaciones sobre la convergencia normativa en el ámbito del comercio electrónico sería a través del Mercado Común del Sur (MERCOSUR).
Evaluación de la aplicación de la facilitación del comercio en la era del comercio electrónico: análisis comparativo de Jordania, Omán y Hong Kong, China
El surgimiento del comercio electrónico está impulsando importantes cambios en las formas de realizar operaciones de comercio internacional. Ha quedado claro que las mejoras en la aplicación de la facilitación del comercio deben estar respaldadas por sistemas electrónicos. A través del estudio comparativo de una serie de informes publicados por organizaciones internacionales— la Unión Internacional de Telecomunicaciones (UIT), la Organización de Cooperación y Desarrollo Económicos (OCDE), la Conferencia de las Naciones Unidas sobre Comercio y Desarrollo (UNCTAD) y el Banco Mundial— sobre temas de comercio electrónico, logística y facilitación del comercio, analizamos la situación y el desempeño de Jordania, Omán y Hong Kong, China. Sobre la base de este análisis, Hong Kong, China registra una de las mejores prácticas en cuanto a medidas de facilitación del comercio y aduaneras modernas, y hemos constatado que la voluntad de las instituciones gubernamentales contribuye a agilizar las disposiciones relativas a la facilitación del comercio. Jordania y Omán emprendieron recientemente reformas para mejorar la facilitación del comercio, pero aún deben colmar la brecha que existe entre la política y la práctica en todas las organizaciones gubernamentales en materia de facilitación del comercio y comercio electrónico, así como crear capacidades para los ciudadanos. Al mejorar la aplicación de las medidas de facilitación del comercio y aumentar la capacidad de comercio electrónico tal y como lo ha hecho Hong Kong, China, Jordania y Omán lograrán una prosperidad comercial impulsada por la economía digital mundial.
The ITA Committee: 20 years of boosting trade in IT products
The ITA membership has continued to grow and now includes 53 participants, representing 82 WTO members. It is expected that participation in the ITA will grow further in the near future.
Taxation of international e-trade: Russian particularities
Tax rates on e-commerce in Russia should remain moderate, given the small size of its digital trade operations (so the rise in tax revenues from higher rates would be small) and substantial growth prospects (so future tax revenues from a developed sector could be quite large). The Russian Federation’s (Russia’s) taxation of e-commerce activities presents two important challenges. First, consumer goods purchased directly from foreign online sellers enjoy significant tax advantages compared to imports purchased in Russian retail outlets, undermining the profitability of Russian importers and reducing tax revenues. Second, the value-added tax (VAT) levied on foreign exporters of electronic services creates uncertainty because the legal definition of electronic services is unclear and impedes the operations of multinational companies in Russia because VAT is taxed on intra-firm imports of services. Russian authorities are establishing effective automated systems for collecting taxes and customs duties on cross-border e-commerce, calculating VAT compensation to exporters and accounting for receipts from online stores. These systems will help to prevent abuse of the tax system, as well as reduce the cost of compliance by firms.
Foreword
There are different ways to analyze the global economy. One is to view it through the lens of growth and structural change in individual economies, developed and developing. A second is to use the lens of global value chains (GVCs), the complex network structure of flows of goods, services, capital and technology across national borders. Both are useful and they are complementary to one another.
Convergence on e-commerce: the case of Argentina, Brazil and MERCOSUR
E-commerce is growing rapidly in Argentina and Brazil, and in both countries the share of the population participating in e-commerce transactions exceeds the Latin American average. Both countries have established a legal framework for data protection, regulation of the internet, consumer protection, taxation of e-commerce, and contracts and e-signatures. Argentina and Brazil also have submitted proposals for negotiations over the treatment of e-commerce transactions in WTO Agreements, and included e-commerce provisions in free trade agreements (FTAs). However, different approaches to internal regulation of e-commerce and differences in positions in international negotiations indicate diverging regulatory approaches that will increase legal uncertainty and thus constrain investments and market expansion in the sector. An exception is the regulation of data protection, where both countries are following principles laid out in the European Union’s General Data Protection Regulation (GDPR). Further negotiations between the two countries over regulatory convergence for e-commerce could best be undertaken through the Southern Common Market (MERCOSUR).
Conclusions
Le système commercial mondial a toujours été façonné par le progrès technologique. Non seulement la technologie est un déterminant des coûts du commerce, mais encore elle définit quels produits peuvent faire l’objet d’échanges transfrontières et elle influe sur les profils d’avantage comparatif.
The impact of the trade liberalization brought by the ITA
Participants in the Information Technology Agreement (ITA) significantly liberalized trade in information technology (IT) products by reducing the rates of both the bound (the maximum rate that a WTO member can legally levy on a certain product) and most-favoured nation applied tariffs (those applied in practice by governments).
Introduction
Le monde est en constante évolution, porté par les innovations technologiques qui influent sur notre façon de vivre et de faire des affaires. L’histoire de l’économie mondiale est intimement liée aux progrès technologiques. L’invention de la machine à vapeur a conduit à la mécanisation de la production, la découverte de l’électricité a permis la production de masse et, grâce à l’essor d’Internet, il est devenu possible de coordonner à distance les différentes étapes de la production, ce qui a entraîné la fragmentation de la production et l’apparition des chaînes de valeur mondiales.
Towards a new digital era
This section describes the rise of digital technologies and identifies the technological forces that have helped propel their growth. It examines how digital technologies are changing the economy by giving rise to new markets, goods and services, and discusses some of the concerns that have arisen in parallel regarding privacy, market concentration, the impact on productivity and the digital divide. The section also discusses the methodological and data challenges involved in trying to measure the value of digital transactions and digital trade, and provides estimates culled from international organizations and national authorities, as well as financial reports from a number of well-known firms.
Defining innovation-oriented government policies and their evolution in the digital age
Since the 2008-09 financial crisis, industrial employment in some economies has seen accelerated decline and international competition in mature industrial sectors has tightened; the evolution of productivity and wages has slowed; and a new economy enabled by digital technologies has emerged. In this context, industrial and innovation policies have undergone renewal, and these “new industrial policies” are reflecting a duality inherent to all government policy phases, as they aim to address the difficult modernization of traditional industries, while also aiming to bring about an adaptation of economies to digitalization.
Prólogo del Director General de la OMC
El comercio y la tecnología están estrechamente relacionados. Desde la invención de la rueda hasta el hallazgo del ferrocarril o la aparición de los contenedores, la tecnología ha desempeñado siempre un papel clave en la configuración del comercio, y este fenómeno se está produciendo hoy a una velocidad sin precedentes. Estamos viviendo una era de cambios tecnológicos desconocidos hasta ahora, y las distintas innovaciones propiciadas por Internet podrían tener importantes repercusiones. La Internet de las cosas, la inteligencia artificial, la impresión 3D y las cadenas de bloques (blockchain), por ejemplo, pueden cambiar en gran medida cómo se comercia, quiénes comercian y qué se comercia.
Introduction
Les innovations numériques sont en train de transformer l’économie mondiale. La baisse des coûts de recherche et d’information, la croissance rapide de nouveaux produits et marchés et l’émergence de nouveaux acteurs grâce aux technologies numériques promettent de stimuler les flux commerciaux mondiaux, y compris les exportations des pays en développement. Dans le même temps, les technologies numériques menacent la vie privée et la sécurité dans le monde entier et le retard pris par les pays en développement qui ne disposent pas des outils nécessaires pour être compétitifs dans le nouvel environnement numérique risque de s’aggraver encore. Ce livre, qui a été élaboré par les titulaires de chaires de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), les membres du Conseil consultatif et des fonctionnaires du Secrétariat de l’OMC, examine l’incidence de l’adoption rapide des technologies numériques sur le commerce et le développement, ainsi que le rôle que les politiques nationales et la coopération internationale peuvent jouer pour créer un avenir plus prospère et plus inclusif.
Executive summary
More than two-thirds of world trade occurs through global value chains (GVCs), in which production crosses at least one border, and typically many borders, before final assembly. The phenomenal growth in GVC-related trade has translated into significant economic growth in many countries across the globe over the last two decades, fueled by reductions in transportation and communication costs and declining trade barriers. But, at the same time, it has contributed to distributional effects that mean that the benefits of trade have not always accrued to all, which has, at least in part, been a driver in the backlash against globalization and the rise of protectionism and threats to global and regional trade agreements. In addition, new technological developments such as robotics, big data, and the Internet of Things (IoT) are beginning to reshape and further transform GVCs. This second GVC development report takes stock of the recent evolution of GVC trade in light of these developments.
Possibilités et défis liés au commerce électronique à Maurice
La présente étude s’intéresse à la situation actuelle du commerce électronique à Maurice, ainsi qu’aux défis et aux possibilités qu’il présente. En 2017, la part de la population qui réalisait des achats en ligne était de 14%, le deuxième taux le plus élevé en Afrique (derrière la Libye), ce qui découlait en grande partie de l’augmentation de l’utilisation et de la pénétration d’Internet, associée à l’utilisation accrue des cartes de crédit et au développement de systèmes de paiement en ligne sécurisés. En outre, dans l’Indice du commerce électronique B2C de la CNUCED (état de préparation électronique), Maurice était classé au premier rang des pays du continent africain. Une enquête menée auprès des consommateurs a révélé que le niveau de satisfaction concernant les achats en ligne était élevé en raison d’un choix plus vaste, de la possibilité de gagner du temps, de l’accessibilité et la relative facilité de recherche de produits en ligne. Les principales préoccupations comprenaient le fait de ne pas être à l’aise avec la divulgation de renseignements personnels et la possibilité limitée de contacter les vendeurs. Les personnes interrogées qui n’avaient jamais effectué d’achats en ligne ont évoqué des préoccupations liées à la navigation en ligne, à la sécurité des paiements et aux coûts élevés. Les vendeurs en ligne se sont montrés très optimistes quant à la croissance future du marché, mais ils étaient également préoccupés par la préférence locale pour des sites Web internationaux, par les limitations techniques du service Internet et par la petite taille du marché. Les entretiens avec des décideurs ont fait état d’un cadre juridique et réglementaire solide soutenant les paiements électroniques, mais ont décrit le besoin d’une coopération réglementaire plus forte avec d’autres pays en matière de commerce électronique et d’un travail plus important de collecte de statistiques. Pour ce faire, une assistance technique serait utile.
Introducción
Las innovaciones digitales están transformando la economía mundial. La disminución de los costos de búsqueda y de información, el rápido crecimiento de nuevos productos y mercados y la aparición de nuevos participantes que han propiciado las tecnologías digitales pueden impulsar los flujos comerciales mundiales, incluidas las exportaciones de los países en desarrollo. Pero las tecnologías digitales también amenazan la privacidad y la seguridad en todo el mundo, y los países en desarrollo que carecen de los instrumentos necesarios para competir en el nuevo entorno digital corren el peligro de quedar aún más rezagados. En este volumen, elaborado por los titulares de las Cátedras de la Organización Mundial del Comercio (OMC), los miembros de la Junta Consultiva y funcionarios de la Secretaría de la OMC, se analizan las repercusiones que tendrá la rápida adopción de tecnologías digitales en el comercio y el desarrollo, y se estudia qué papel pueden desempeñar las políticas nacionales y la cooperación internacional en la creación de un futuro más próspero e inclusivo.
Innovation policy, trade and the digital challenge
This section focuses on innovation policy and discusses its economic rationales and impact on innovation. For innovation to take place, new knowledge has to be created through investment in research and it then diffuses through the education system or publications, patents and interchange of ideas. When firms or governments instigate technological progress by using this knowledge, or its embodiments via inventions, to change processes, behaviours or technologies, economic growth may be affected, depending on a number of variables. Within any country, the diffusion of new technology depends on institutions, the level of economic openness and investment in education and research.
Engaging in the digital economy: issues and agenda in the quest to adopt Indonesia’s e-commerce roadmap
The study explores structural and practical issues following the adoption of Indonesia’s e-commerce roadmap (2017–2019) and its implications for the future of the country’s digital economy. Two major categories of issues are examined in order to identify problems and challenges confronted by related stakeholders. The first category, i.e. the structural one, relates to the larger governance context of the country’s digital economy to which e-commerce activities are attached. The governance context includes the legal and regulatory context, the institutionalizing mechanism and the implementing phases, which involve socio- and politico-economic interplays among its key players. The second category represents practical dimensions, which involve questions on the mitigation of and adaptation to concepts, models and practices in the digital economy. Indonesia’s position on the moratorium on e-commerce and the local initiatives on digital economy are presented to illustrate mitigation efforts by related stakeholders in areas where disagreements and negotiations on certain structural and practical policy issues have arisen, i.e. on Indonesia’s position on the World Trade Organization (WTO) moratorium on e-commerce and local initiatives (such as the ones in Yogyakarta) to develop a digital economy.
Note on the WTO Chairs Programme
The WTO Chairs Programme (WCP) was launched in 2010 as a capacity-building project. It aims to enhance knowledge and understanding of the trading system among academics and policymakers in developing countries through curriculum development, research and outreach activities by universities and research institutions. Information on the WCP is available at www.wto.org/wcp.
Las tecnologías digitales y sus efectos económicos en el comercio
En esta sección se estudia la transformación del comercio internacional que se está produciendo debido a las nuevas tecnologías, que están creando nuevas oportunidades para conseguir un sistema de comercio más inclusivo y están planteando nuevos desafíos. Al comienzo de la sección se examina la influencia de las tecnologías digitales en los costos del comercio internacional. A continuación, se analizan los cambios que las tecnologías digitales causan en la naturaleza de los intercambios, en la forma en que se lleva a cabo el comercio y en los agentes y el contenido del comercio. Por último, se cuantifican las posibles repercusiones de algunas tendencias importantes en el desarrollo tecnológico, y se formulan proyecciones a largo plazo sobre el comercio internacional empleando el Modelo de Comercio Mundial de la OMC.
Les chaînes de valeur mondiales à l’ère d’Internet : quelles possibilités pour l’Afrique ?
Dans ce chapitre, nous analysons l’impact d’Internet sur les chaînes de valeur mondiales (CVM) en Afrique. Nous étudions l’incidence de l’adoption d’Internet sur la participation des pays africains aux CVM en amont et en aval. Nous réalisons nos estimations à partir des données par pays qui figurent dans la base de données Eora sur les CVM de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) et des données par entreprise issues de l’enquête sur les entreprises de la Banque mondiale. Nous vérifions si l’adoption d’Internet améliore la participation de l’Afrique aux chaînes de valeur mondiales aux niveaux des pays et des entreprises. Nous constatons que l’utilisation d’Internet et l’infrastructure Internet sont plus importantes pour les entreprises et les pays africains lorsqu’il s’agit de participer en amont aux CVM. Pour conclure, des résultats empiriques montrent qu’Internet accroît la participation aux CVM en Afrique. Les entreprises et pays africains doivent améliorer l’infrastructure Internet afin de tirer le meilleur parti de l’intégration dans les chaînes de valeur mondiales.
¿Pueden las cadenas de bloques revolucionar el comercio internacional?
Son muchos los titulares en los que se sostiene que la cadena de bloques puede revolucionar diversas esferas del comercio internacional, desde la financiación del comercio hasta los procedimientos aduaneros y la propiedad intelectual. El carácter transparente, descentralizado e inalterable de la cadena de bloques ha despertado el interés de los agentes privados -y de los Gobiernos- en explorar las posibilidades que ofrece esta tecnología para mejorar la eficiencia de los procesos comerciales, por lo que ya se han realizado multitud de estudios de viabilidad y proyectos piloto utilizando la cadena de bloques en prácticamente todos los ámbitos del comercio internacional.
The ITA and the international digital economy
Over the past 20 years, the ITA has led to the wider use of new technology by cutting the costs of key ICT goods. The ITA expansion further opens up trade on 201 new-generation IT products and technology.
¿Cómo prepararse para la transformación del comercio asociada a la tecnología?
En la presente sección examinamos cómo puede la cooperación comercial internacional ayudar a los Gobiernos de todo el mundo a aprovechar las tecnologías digitales y las nuevas oportunidades comerciales que estas generarán tanto para las empresas grandes como para las pequeñas. En la sección D.1 se resumen las principales oportunidades y retos asociados a la expansión del comercio electrónico. En la sección D.2 se ofrecen ejemplos de políticas que aplican los Gobiernos para explotar esas oportunidades y abordar esos retos. Por último, en la sección D.3 se analiza en qué medida (y de qué manera) puede la cooperación internacional ayudar a los Gobiernos a explotar los beneficios derivados del comercio electrónico y a afrontar los retos, sin renunciar al logro de sus objetivos de política pública actuales y futuros.
ITA: List of participants
The ITA currently has 53 participants representing 82 WTO members. The European Union is counted as one, as is the customs union between Switzerland and Liechtenstein.
Foreword
We are pleased to deliver preliminary remarks to this compilation of research work on digital trade prepared by the WTO Chairholders, Advisory Board members and the WTO Chairs Programme (WCP) team of the WTO Secretariat.
Remerciements et avertissement
Le Rapport sur le commerce mondial 2018 a été établi sous la responsabilité générale de Xiaozhun Yi, Directeur général adjoint de l’OMC, et de Robert Koopman, Directeur de la Division de la recherche économique et des statistiques. Cette année, la rédaction du rapport a été coordonnée par Cosimo Beverelli et Emmanuelle Ganne. Les auteurs du rapport sont Marc Bacchetta, Eddy Bekkers, Cosimo Beverelli, Emmanuelle Ganne, John Hancock, Mark Koulen, Andreas Maurer, José-Antonio Monteiro, Coleman Nee, Roberta Piermartini, Stela Rubinova, Viktor Stolzenburg, Robert Teh et Ankai Xu (Division de la recherche économique et des statistiques).
International cooperation on innovation policies in the digital age
National innovation policies, like other government policies, serve domestic policy objectives. As discussed in Section C, they can generate both positive and negative international spill-over effects, and some of the mechanisms through which they generate spillovers involve trade. This section focuses on cooperation aimed at addressing the trade-related international spill-overs from innovation policies. Such cooperation could help to ensure that governments have the policy space to pursue innovation policies, and could help to maximize the positive international spill-overs of such policies, while minimizing their negative effects on trading partners.

